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mercredi 20 avril 2016

WOODS - City Sun Eater in the River of Light (2016)



O
ludique, funky
indie rock, psychédélique


Pour le groupe de Brooklyn Woods, dès l'ouverture de City Sun Eater in the River of Light, les cuivres apparaissent comme un artifice qui démarque ce neuvième album, ou au moins Sun City Creeps, du précédent With Light and With Love. Avec sa pulsation afro-beat et son piano rhodes, le groupe a la bonne idée d'insuffler une vibration de reggae psychotique les faisant ressembler, de la façon la plus engageante, au groupe de reggae les Congos, qu'ils imitent grâce à la voix falsetto de Jeremy Earl et l'égarement dans un présent irrésolu et jouissif. « Sun City creeps/oh, let it go/we fall in to love/Take as we go. » Attention, la constance de ce falsetto un peu vibrant peut énerver. 

Le prochain morceau de bravoure s'appelle Can't See at All, dans cet album où les chansons se démarquent surtout par une pulsation funky, une répétition entêtante de certaines phrases, une instrumentation excentrique. Tout ce tropicalisme démarque un peu mieux le groupe des autres combos de pop rock psychédélique américain. L'apothéose caribéenne arrive avec The Take, bien amenée par son chorus de trompettes, et jusqu'à la surprise de son attaque de guitares électriques. Mais cela reste en stase. Politics of Free joue le rôle du single ensoleillé et (un peu plus) propulsif dans un album hagard. The Other Side encapsule encore un peu plus le sentiment doucement aliéné de l'album, retournant la réalité pour la rendre plus enveloppante. « There will always be a place for you/Meet me on the other side/What would say to tomorrow's sky/I wich the sunset almost every night... »

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