Un clip qui invoque l'esthétique des années 70 et le Pink Floyd de Live at Pompéi (1972). Le résultat paraît plus viscéral que décalé, le groupe n'était pas là seulement pour nous amuser. Comment faire du psychédélisme 'maison' ou artisanal, sans un déluge d'effets visuels, quand on commençait en s'en lasser. King Gizzard joue d'un sens de l'authenticité pour un morceau violent !
La voix du chanteur guitariste Stu Mackenzie est de plus en plus incisive, capable d'accentuer certaines syllabes, comme pour encoder leur garage- rock dans notre cerveau.
Le compte rendu de leur concert à la Flèche d'Or.
Bandcamp :
https://kinggizzard.bandcamp.com/album/nonagon-infinity-2
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