“…you can hear whatever you want to hear in it, in a way that’s personal to you.”

James Vincent MCMORROW

Qualités de la musique

soigné (81) intense (77) groovy (71) Doux-amer (61) ludique (60) poignant (60) envoûtant (59) entraînant (55) original (53) élégant (50) communicatif (49) audacieux (48) lyrique (48) onirique (48) sombre (48) pénétrant (47) sensible (47) apaisé (46) lucide (44) attachant (43) hypnotique (43) vintage (43) engagé (38) Romantique (31) intemporel (31) Expérimental (30) frais (30) intimiste (30) efficace (29) orchestral (29) rugueux (29) spontané (29) contemplatif (26) fait main (26) varié (25) nocturne (24) extravagant (23) funky (23) puissant (22) sensuel (18) inquiétant (17) lourd (16) heureux (11) Ambigu (10) épique (10) culte (8) naturel (5)

Genres de musique

Trip Tips - Fanzine musical !

mardi 28 juillet 2015

CITIZEN - Everybody is Going To Heaven (2015)



O
sombre, intense
Rock, indus, hardcore, émo

Les choses ne sont plus les mêmes. C’est ce que ce quintet semble vouloir signifier partout sur cet album dramatique. Un changement a eu lieu, entre le premier et le deuxième album, le point A et le point B. Même si pour l’essentiel on continue d’écouter une musique pleine d’émanations rock émo qui évoquent Marilyn Manson (la pièce centrale My Favorite Color, « Stay quiet for me » hurlé à la façon de Brian Warner, et le riff martelé comme du rock indus). Les guitares sont caverneuses à souhait. Lorsque la basse gonfle, le néo métal de Korn vient à l’esprit (sur Ten par exemple). Mais pourquoi ne pas se sentir un peu nostalgique de ce désespoir mal dégrossi, cette façade pour conjurer des drames existentiels. La plus grande force de Citizen, dirait t-on, c’est de tant miser sur la forme de l’album, de faire en sorte que les morceaux se renforcent entre eux, alternant les ambiances et les dynamiques de façon hypnotique.  Les deux ballades, Yellow Love et Heaviside, par exemple bâtissent vraiment une oeuvre qui les dépasse. Des cycles émotionnels se font écho Les sentiments sont à fleur de peau, mal définis comme cette voix qu’on ne saisit pas bien. 

Run for the Covers Records, un label à suivre. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...